Par Philippe Bertrand, Chef adjoint du service "Services" aux Echos.fr.
Les institutions sportives devraient emprunter aux entreprises leurs modes de gouvernance, en distinguant nettement le pouvoir des actionnaires licenciés pratiquants, représentés par leurs fédérations nationales, et celui des dirigeants opérationnels.
Le « Fifagate », la couverture par la Fédération internationale d'athlétisme du dopage d'athlètes russes, les accusations de laxisme à l'encontre de l'ATP au sujet de matchs de tennis truqués : la gouvernance du sport est de nouveau questionnée par la multiplication des affaires. De nouveau, car quelques années auparavant, c'est l'Union cycliste internationale (UCI) qui était accusée de couvrir le « vélo à l'EPO ». Sans compter l'éternelle contestation des attributions de grandes compétitions : Coupes du monde, JO, etc.
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